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The Big Hustle est un groupe parisien formé en 2013 influencé par le funk et le jazz électrique de ces 10 dernieres années (Snarky Puppy, Soulive, Lettuce, Electro Deluxe).Avec sa section cuivre puissante et précise, une rythmique funky et rock’n’roll à la fois et la présence de percussions dans le groupe, la musique de The Big Hustle possède une palette de couleurs extrêmement large, vaste et variée passant d ambiances calmes à des passages de furies sonores et également des moments dance floor. Le tout restant toujours dans l’esprit groove et funky.Tous les membres du Big Hustle sont musiciens professionnels menant des carrières aux multiples horizons, les amenant à collaborer ou jouer avec des artistes talentueux de la scène française notamment Nina Attal, Manu Dibango, Malted Milk, Charles Pasi, Juan Rozoff, Electro Deluxe, Beat Assailant...Depuis ses débuts en 2013, the Big Hustle s'est produit dans de nombreuses scènes parisiennes (Divan du monde, Caveau des oubliettes notamment) et enregistré un premier EP 6 titres.Une session live filmée a également été réalisée en octobre 2014, 4 titres vidéo sont en ligne.WORLD WILDE « C'est l'envie de jouer ensemble, créer, partager, rencontrer, voyager grâce à la musique, mélanger nos goûts et surtout jouer en live... » nous répondrait Sébastien (leader du groupe) avec sa simplicité légendaire, si on lui demandait d'expliquer le concept du groupe. Aussi simple soit-elle, cette réponse résume bien l'univers global de l'album. Les escapades dans des mondes parallèles comme le Rock, le Hip Hop, l'Afro Beat ou la Soul ouvrent la voie à de multiples fusions, expérimentations et improvisations de haut vol. Si l'on sent un parfum de nostalgie des années 1970, le Jazz-Funk de The Big Hustle est en pleine phase avec son temps, avec les sonorités actuelles qui nous promettent encore quelques beaux lendemains pour cette musique d'antan.The Big Hustle s’entoure sur l’album d’une vingtaine d’invités pour donner encore plus de volume à un son déjà bien massif. Trombone, harmonica, violoncelle, scratchs... la recherche des timbres est à chaque titre une nouvelle aventure. Thomas Faure, le saxophoniste et arrangeur du désormais légendaire groupe Electro Deluxe, est venu porter sa caution au projet en participant à un titre de l’album. L’américaine Melissa Mc Millan, Nina Attal, le rappeur Beat Assailant, Jo Champ et quelques autres jolis grains de voix apportent une petite touche vocale bienvenue dans cette profusion de beats et de grooves. Comment avec toute la complexité rythmique, la technicité, la sophistication des arrangements ont-ils réussi à garder l’ensemble accessible et digeste ? Le secret réside dans la quête de groove qui n’a jamais quitté Sébastien depuis sa rencontre avec Motown mais aussi dans sa soif d’ailleurs, dans sa passion pour les voyages qu’il tente de traduire à travers une musique ouverte sur les sonorités du monde.

Grand retour du groupe mythique de la scène Funk française ! Apres une longue absence, Malka Family se reforme, brûle quelques scènes et compose un nouvel album sans rien changer à sa formule magique. Recomposé avec la quasi totalité des musiciens originaux, ils reviennent aujourd'hui avec un nouvel album, «Le Retour Du Kif», un antidépresseur indispensable pour contrer la morosité ambiante. Au cœur d'un Marais encore populaire et multiculturel, de jeunes musiciens se réunissent pour jammer. C'est là que se forme Malka Family. Leur premier album autoproduit Malka On The Beach sort en 1991 et les tournées s'enchainent dans toute la France. Les concerts, véritables show costumés faisant toujours le plein sont souvent suivis d'une soirée "(Tous à la) Discomobile" où la fête continue toute la nuit. En 1992, Warner France les signe pour un 2e album Tous des Oufs, véritable space opera P-Funk où sont invités Sidney, Dee Nasty, Marco Prince (FFF), Juan Rozoff... Ils auront parcouru la France, la Suisse, l'Italie, la Hollande, le Danemark, la Namibie, le Japon … 1994 : le groupe redevient indépendant et enregistre un disque chez Big Cheese Records, Fricassé De Funk. Après une ultime tournée pour le troisième album, «Fotoukonkass» (BMG) enregistré avec Renaud Létang, qui s'est terminée par un concert aux FrancoFolies de Montréal aux côtés de FFF, le groupe se sépare. A l'heure où Daft Punk fait appel à des artistes funk pour soutenir leur performance, où «Uptown Funk» de Bruno Mars & Mark Ronson continue de faire danser les foules, il était temps que les grandes familles mythiques du funk reviennent donner une leçon de kif aux nouvelles générations. Le groupe se reforme et donne depuis le printemps 2015 une série de concert "sold out" à Paris, banlieues et province, décide d'enregistrer un nouvel album et de repartir sur les routes …

First official reissue of Nigerian Boogie Disco Grail LP produced by Grotto for EMI Nigeria and originally released in 1978. Contains dance classic‘Bad city Girl’. Liner notes by Nigerian Music expert Uchenna Ikkone, include previously unpublished photos and extensive interviews by Temitope Kogbe.“Odion Iruoje was the A&R manager at EMI at the time,” Benson says, “and he auditioned us, liked he material and signed us.” Odion Iruoje of course had groomed and produced Ofege. Now he was looking to repeat the formula with other high school groups such as Tirogo, Apples and Question Mark. Grotto’s deep rock would be a welcome addition to this “schoolboy rock” series. Work on their album started immediately, with Iruoje in the producer’s chair. Adapting to the tastes of the times—as well as their own maturing musical sensibilities—Grotto started transitioning from acid rock towards sleeker, more dance floor-friendly grooves. “As I grew older I think I got a bit jazzier,” Benson says. “I also listened to Curtis Mayfield, James Brown, Isley Brothers, Prince and a lot of funk groups from that era.” “Hard rock was the content of the first album,” Amenechi agrees, “and funk/jazz/R&B the focus of album number two. Especially with the late Toma Mason Jr. joining as bassist.” The group’s second album, Grotto II: Wait… No Hurry (released in 1979) reflected the growing sophistication of its members’ musical outlook. Fat, funky bass grooves rubbed shoulders with jazzy flute lines; space-age synthesizer tones punctuated good, old-fashioned crunchy rock riffs.

Nigeria’s Kingsley Bucknor’s ‘Just U and Me’ LP gets the long-awaited reissue treatment from Melbourne’s Left Ear Records. After cutting his teeth playing with Fela in the 70’s and releasing two afrobeat LP’s Kingsley travelled the globe before finding himself in London, it’s here that he laid down 6 distinctive electro-funk tunes inspired by African rhythms and music he’d heard through his travels in the States and in Europe. Originally issued on Kinglsley’s own KAB records in ’85 and according to Kingsley the release was well received at the time, but due to constraints of international marketing the record remained mostly unknown outside of his homeland. Fast-forward to 2017 and the stage is set for a new global audience to appreciate the distinct sound of KB.